Merci Ecoverger,
T'es un peu le papa spirituel de cette file quelque part selon moi...
J'enruche demain un élément warré dans une horizontale. Pour toi, il y a ordre des cadres à respecter ?
tes feuilles de polycarbonate, tu les troues pour laisser passer la condensation ?
Je partage l'avis de Francis sur la condensation, pour le moment l'aération se fait par les lignes de jonctions des plaques, mais le perçage pourrait se faire sans doute avec profit.
Willy
je te sais gré de cette "reconnaissance de paternité",cependant il faut rendre à César ce qui est à Jules, le post a été inspiré par un modèle qu'Olivier Duprez a mis au point et qui intéresse de plus en plus de monde pour la polyvalence de son utilisation. Je suis sûr que Michel en expérimentera bientôt les avantages...
Mon expérience n'est pas suffisante pour certifier la validité de tel ou tel aspect technique.
Certain préfèrent avoir l'entrée par le pignon (bâtisses chaudes), dans mon cas il s'agit de deux entrées en façade qui permettent de travailler avec le toit ouvert en face de soi, de diminuer les arrivées possibles d'abeilles puisqu'elles sont contenues par le toit, et principalement, de travailler à hauteur comme sur un piano debout...
Il me semble que l'isolation haute a une incidence majeure lorsque le toit est obturé.
La modification apportée par Tom11 (bientôt 12...) sur les coulisses, m'apparait judicieuse.
Je ne comprends pas bien les souhaits de faire hiverner dans d'autres modèles.
Les warré horizontales peuvent parfaitement servir de "refuge" l'hiver en y adjoignant des isolations latérales supplémentaires, et permettent de transvaser au printemps dans des verticales pour continuer la récolte ou l'élevage.
Bon courage et bonne chance à ceux qui se lancent dans cette construction.