jln a écrit :Chaque fois j'ai pris soin de mettre le cœur du bois vers l'extérieur.
Effectivement. Je veille à en faire autant. Par contre le phénomène de déformation, très observé sur les éléments fabriqués par le paternel, est peut-être du en partie au moins à cela, car lui ne doit pas être au courant du schmilblik !
jln a écrit :La première avec des panneaux d'un seul morceau de 210 mm de haut, assemblés à mi-bois : J'ai eu des déformations assez importantes.
Les trois autres séries, pas de mi-bois mais tous mes panneaux en deux planches assemblées par rainures et languettes.
Résultat, peu ont bougé.
De par la conception de mes fenêtres, l'arrière est même en quatre morceaux. Rien ne bouge.
Je ne pense pas refaire de ruches avec des panneaux d'une seule planche.
C'est tout à ton honneur car c'est déjà de la menuiserie de haut niveau pour moi. Par contre comme dit plus haut, peu de déformation sur le mélèze et douglas pour moi avec des planches d'un seul tenant et vissées champ à champ.
J'ai quand même l'impression que l'épicéa est plus sensible au tuilage. Peut-être car il se ré-humidifie plus ?
Pas impossible que j'essaie le mi-bois la prochaine fois.
jln a écrit :Autre constatation : je sais que cette pratique n'a pas que des adeptes mais les éléments dont j'ai enduit l'intérieur de cire chauffée ont nettement moins bougé que les autres.
Hypothèse perso : l'humidité générée par la colonie dilaterait les fibres des faces intérieures.
C'est vrai que j'ai fait ça aussi sur la première série mélèze comme prôné par ch.k. Mais comme tu dis il n'y a pas que des adeptes. Enfin du moment que mes ruches tiennent 30 ans, ça me va