Message#24 » lun. juil. 21, 2014 12:32 pm
Bonjour à tous,
je vous confirme la bonne utilité de ces trous et je dois avouer que je ne saurais plus m'en passer.
Je n'ouvre que les éléments du nid à couvain, je n'ouvre pas (ou très rarement) ceux du grenier à miel afin d'éviter tout pillage latent car ces étages sont moins bien gardés. Cela évite aussi l'entrée de pollen si l'on choisit d'utiliser la grille à reine pour séparer le nid du grenier.
Voici, entre autre et surement pour rappel, comment j'utilise ces ouvertures, ici d'un bon 24 mm de diamètre (diamètre d'un bouchon neuf)
- L'hiver (en fait peu de temps après la récolte), je les ferme.
- Au printemps, ouverts ils participent notablement au ralentissement de l'essaimage
- L'été ils favorisent la ventilation indispensable pour bien faire murir le miel
- Ils sont très appréciables, pour ceux que ça intéresse, en conduite bi-ruche "dos à dos" ou en "colonne"
- Enfin, ils sont d'une praticité incontestable pour les traitements, même en janvier !
Sur chacun des éléments, je glisse un bouchon au bout duquel je fixe à l'aide d'une punaise un carré de boite à œuf, excellent support pour les huiles essentielles.
Apicolement,
< Christophe
< Quelques Warré en Isère depuis 2004, (et après 4 ans de conduite en Langstroth).