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Comparatif de ruches

Newbee25

Re: Comparatif de ruches

Message#31 » lun. juin 22, 2020 4:53 pm

ed.chimar a écrit :Des cadres qui collent aux parois , ça arrive avec toutes les ruches quel qu'en soit le modèle, même les très bien fabriquées. Tant que c'est neuf, c'est vrai ça ne colle pas, mais tôt ou tard ça arrive. Si le cadre n'est pas trop haut on arrive à le décoller, un coup de couteau en z et l'affaire est jouée. Seulement il arrive qu'il nous manque l'outil et dans ce cas on casse le cadre, d'autant plus qu'il est haut (cas de la Layens).

Merci, que les oreilles de tête de cadre collent je comprends mais le cadre :shock:
Ceci expliquerait l'abandon des Layens en France pour passer sur des cadres plus large que haut ?
Quand je vois les ruches profondes ukrainienne et allemande, c'est encore plus haut que la Layens et pour suivre quelques chaines youtube, y compris Layens, je n'ai pas entendu ou vu de problème de collage.
Vu que je passe en Layens je vais vite voir à l'usage, mais je pense que ce sera toujours moins collé que les barrettes de ma tbh :wink:

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Michel
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Re: Comparatif de ruches

Message#32 » lun. juin 22, 2020 5:26 pm

Le problème, avec tous les cadres, c'est qu'ils bougent un peu et peuvent glisser vers une paroi ou l'autre. Ce faisant, ils approchent à moins de 5 mm et les abeilles propolisent entre le cadre et la paroi sur une bonne longueur. Tant qu'il fait chaud, on arrive à décoller le cadre. Sinon, on casse le cadre à force de tirer dessus avec le lève-cadres.

A+
Michel,

Causses tôt, Causses tard mais Causses toujours... tu m'instructionnes ! :lol:

Newbee25

Re: Comparatif de ruches

Message#33 » lun. juin 22, 2020 6:11 pm

là c'est clair pour le novice que je suis :super

Renaud
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Re: Comparatif de ruches

Message#34 » lun. juin 22, 2020 9:20 pm

Daniel 59 avait repris le texte suivant sur un post [] où il parlait de Voirnot, et qui me semble avoir sa place ici :

''Je viens de retrouver un texte de mon ami Alain Charlier sur la ruche Voirnot.

= = =
Une ruche pratique et fonctionnelle

De l'Antiquité à nos jours, les techniques apicoles n'ont connu de véritable révolution qu'au 19ème siècle, lorsque plusieurs chercheurs, Huber, Debeauvoys et Berlepsch en Europe, Langstroth aux États-Unis, introduisirent le cadre mobile dans les ruches. Cette innovation allait permettre une observation plus aisée des abeilles et une meilleure connaissance de leurs mœurs. Elle allait aussi considérablement transformer les méthodes d'élevage en autorisant le contrôle de la reproduction et en facilitant dans une large mesure les opérations de récolte.

L'habitat préféré des abeilles :

En dépit de ces avantages, beaucoup d'apiculteurs sont longtemps demeurés fidèles au " fixisme " Aujourd'hui encore des partisans de l'ancien système exploitent des colonies placées dans des troncs évidés, des paniers de paille ou d'éclisse ou des ruches en bois, sans cadres... Cet attachement à la tradition ne doit pas être perçu comme une résistance au progrès mais plutôt comme un choix raisonné en faveur d'un habitat particulièrement bien approprié à la grappe d'abeilles. Le souci majeur d'une colonie étant la production de chaleur nécessaire à sa survie et à son développement, il est incontestable que les formes demi-sphériques ou en cloche des ruches anciennes répondent parfaitement aux besoins de l'abeille. En hiver, la grappe se resserre vers le sommet du dôme, ne dépensant ainsi qu'un minimum d'énergie pour maintenir la température idéale. Les rayons adhérant aux parois, on observe que la vapeur d'eau émanant de la sphère d'abeilles se trouve partiellement recyclée dans les cellules à miel. Les méfaits de la condensation sont, de la sorte, évités. À l'inverse, les ruches modernes présentent un espace inoccupé important, nécessaire à la mobilité des cadres. Ce volume, constitué par les montants des cadres et l'espace vide qui les entoure représente près de 30% de la capacité de la ruche. On imagine l'effort supplémentaire que les abeilles doivent fournir pour entretenir en permanence cet espace utile à l'apiculteur seulement !

Le choix du mobilisme

Sans sous-estimer ces inconvénients, il faut les mettre en balance avec la réelle commodité qu'offre le cadre mobile dans le travail de l'apiculteur, principalement dans les opérations de récolte. De nombreuses exploitations fonctionnent depuis plus d'un siècle en "mobile" sans connaître de véritables problèmes sanitaires. J'ai donc choisi cette voie, en me gardant toutefois d'intervenir sans discernement dans le nid d'une colonie.

Le choix de la divisible

Plus actuel est le débat qui oppose les possesseurs de ruches compactes (corps monobloc) et les adeptes de la divisible (corps sur deux éléments). Là encore, les arguments des uns et des autres méritent d'être défendus. Ayant pratiqué les deux modes d'exploitation, j’affirme franchement ma préférence pour la divisible. Outre une grande facilité de construction, elle offre une multitude de possibilités dans l'accompagnement du développement des colonies : agrandissement, divisions, réunions, permutation des éléments... ceci sans violence, sans grand bouleversement dans les chambres à couvain et sans effort physique important. La possibilité de pratiquer une apiculture non-violente pour l'abeille est un avantage décisif qui efface les petits inconvénients dus à la discontinuité du couvain. Ce défaut souvent cité peut d'ailleurs être encore atténué par une conception dimensionnelle appropriée des cadres, ce qui n'est malheureusement pas possible avec le format Dadant.

La nécessité d'un standard unique pour le rucher

Pour avoir travaillé certaines années avec six modèles de ruches différents, je suis convaincu que la diversité des cadres est un obstacle majeur à tout progrès. Un travail sérieux, ordonné et détendu n'est pas possible avec du matériel aux dimensions multiples. La standardisation est à mes yeux une priorité absolue. Je n’ai pu suivre efficacement mes colonies qu'à partir du jour où l'ensemble de mon exploitation a fonctionné avec un seul type de cadres. Toutefois, je ne regrette pas mes expériences passées. Dans tout apprentissage, nous avançons en procédant par essais et erreurs. Je peux maintenant parler des ruches Dadant, Langstroth, Voirnot, Warré, Claerr, en connaissance de cause et apprécier à sa juste valeur le seul modèle que j’aie conservé.

Comment choisir un modèle de ruche : les critères d'évaluation :

Il n'est pas dans mon intention de faire le procès de ruches qui ont donné satisfaction à plusieurs générations d'apiculteurs. Alain Caillas affirme avec raison : "Tant vaut l'apiculteur, tant vaut la ruche". Je comprends aussi la position de ceux qui, ayant acquis à grands frais plusieurs dizaines de ruches, ne veulent pas envisager leur remplacement pour des raisons financières évidentes. Je suis d'avis que si l'abeille s'accommode facilement de toutes sortes d'habitats, cela ne signifie pas pour autant qu'elle s'y adapte sans affaiblissement. De même, s'il est vrai que le matériel a peu d'importance comparativement au comportement de l'éleveur, il n'en demeure pas moins vrai que le choix effectué au départ détermine dans une large mesure toute la méthode à employer ultérieurement pour conduire le rucher.

Malgré tous les débats passionnés que ce sujet a déjà suscités, je pense utile de repartir à la découverte de la ruche idéale, ceci avec le simple bon sens, sans aucun préjugé. Il s'agit en fait d'établir un compromis entre les besoins vitaux de l'abeille et les possibilités d'interventions humaines.

Pour le confort des abeilles :

Le volume de la ruche doit être adapté à la forme de la grappe et à son évolution. De forme sensiblement sphérique, la grappe et le couvain se développent en s'étirant verticalement plus qu'en ne s'allongeant horizontalement. Une base circulaire, sinon carrée, favorise la bonne répartition de la chaleur. La capacité du logement doit être suffisante pour pouvoir contenir le nid à couvain et les provisions hivernales (15 kg). Un volume d'environ 50 dm3 est nécessaire.

Pour une exploitation facile :

L'intérêt de l'exploitant est de partitionner la ruche en plusieurs éléments et d'abaisser la hauteur du cadre. En effet :

- Le poids d'un élément plein de miel ne doit pas dépasser 25 kgf.

- L'extraction du miel est plus commode lorsqu'il est contenu dans un cadre relativement bas.

- La construction d'éléments bas est plus simple et plus économique car elle permet l'utilisation de planches de largeur courante. (La confection de panneaux n'est pas nécessaire).

La bonne répartition du couvain en deux chambres est obtenue lorsque la hauteur de deux éléments se situe entre 40 et 45 cm.

L'épaisseur des parois est généralement fixée à 24 ou 25 mm. Les ruches à double paroi tendent à disparaître. Elles retardent les sorties d'abeilles au printemps et les économies de provisions attendues en hiver sont négligeables, voire nulles.

Comme je n'avais nullement envie de créer un nouveau modèle de ruche, j’ai recherché parmi les modèles existants celui qui répond le mieux à ce cahier des charges.

Examinons les ruches divisibles les plus connues en France :

La divisible Dadant :

Cadre trop bas nécessitant un découpage du couvain en trois parties.
Cadre trop long pour supporter des lattes de faible épaisseur.
Volume s'éloignant de la forme sphérique naturelle du nid à couvain.

La divisible Langstroth :

Poids excessif d'un élément plein de miel (jusqu'à 38 kg). Cette charge répétée un grand nombre de fois dans des positions souvent inconfortables risque d'endommager la colonne vertébrale du porteur. Le nombre d'éléments à conserver pour l'hivernage et le développement du nid à couvain n'est pas évident à déterminer. Un seul élément risque d'être insuffisant. Deux éléments risquent d'être excessifs.

La divisible Warré :

Grâce à celle-ci et à son créateur, nous assistons à une autre conception de l'apiculture, plus conforme aux lois naturelles et à la biologie de l'abeille. Cependant, la ruche de l'abbé Warré s'adapte mal aux grandes miellées, à cause des hauteurs atteintes. Son système de rayons sans cadres peut paraître séduisant, mais après essai, j’ai été contraint de l'abandonner, les résultats obtenus étant irréguliers, tant dans l'évolution du nid à couvain que dans le déploiement des bâtisses. La manière de récolter demande une certaine habileté qui doit me manquer. Avec cadres, le volume n'est plus suffisant. En dépit de ces considérations, le livre de l'abbé Warré reste une référence à de nombreux égards.

Dans le même esprit, l'initiative de l'apiculteur-constructeur Roger Delon (de Montbéliard) mérite d'être signalée. Il constate que le cadre est, dans sa conception actuelle source de perturbation pour les abeilles car il ne permet pas la continuité des rayons. Dans la nature, les abeilles construisent jusqu'à la paroi de leur abri ; la ventilation s'en trouve considérablement améliorée. Partant de cette observation, R. Delon met au point un système de cadres assurant la continuité des constructions tout en restant exploitable. Il se compose d'une barrette de bois supérieure et d'un cadre métallique en fil d'acier de diamètre 3,4 mm. Le semi-cadre est auto-fixé dans la ruche dite "Climastable". Certains utilisateurs de ce système estiment avoir ainsi résolu nombre de problèmes sanitaires.

La divisible Voirnot :

C'est le modèle qui à la réflexion et à l'usage réunit le plus d'avantages. Il a ma faveur et je n’ai jamais regretté de l'avoir adopté. Bien au contraire, je lui découvre régulièrement de nouveaux atouts. Je déplore seulement, pour ce modèle comme pour beaucoup d'autres, l'absence de normalisation. Pourquoi ne pas conserver le principe d'une base carrée, tel qu'il a été défini à l'origine ? Les dimensions exactes de cette ruche se déduisent de la longueur intérieure du cadre. La cote de 330 mm est communément admise. Compte-tenu de l'épaisseur des montants des cadres (fixée à 10 mm) et d'un espace-abeille de 7,5 mm de part et d'autre, nous obtenons la longueur intérieure d'un élément : 365 mm.

Nous pourrions aussi partir de l'espace souhaitable entre les rayons. L'observation de rayons dans les habitats naturels nous enseigne que cet espace varie de 30 à 42 mm suivant la destination des cellules. L'espace entre deux rayons de couvain d'ouvrières est en moyenne de 30 à 36 mm. Entre deux rayons de couvain de mâles et entre les rayons de miel, il est en moyenne de 36 à 42 mm. Nous voyons que la valeur médiane, susceptible de s'adapter à toutes les situations est : 36 mm. En adoptant cette valeur, nous évitons d'avoir à gérer deux types d’éléments, l'un destiné au couvain, l'autre à la récolte. En fixant le nombre de cadres à 10 et en prévoyant un jeu de 2 à 3 mm aux extrémités, nous en déduisons la largeur intérieure de l'élément : 365 mm.

Pour maintenir l'espace entre les cadres, je n'ai pas trouvé de meilleur moyen que la bande d'écartement, très facile à poser et bon marché lorsqu'elle est produite en grand nombre. L'apiculteur-constructeur peut éprouver certaines difficultés à se procurer des bandes d'écartement au pas de 36 mm. Les commandes sont honorées par les fabricants, à condition que le nombre de pièces justifie la mise en service d'un montage spécial. Une série d'au moins 500 pièces est généralement demandée. Ce nombre est facilement atteint par le jeu d'une commande groupée.

La hauteur d'un élément n'est pas contestée : elle est fixée à 200 mm.

Intérêt de la divisible Voirnot carrée :

La longueur relativement réduite des cadres, par rapport à Dadant ou Langstroth permet d'adopter pour la latte supérieure comme pour les autres côtés du cadre, une épaisseur constante de 10 mm. Tout en assurant une rigidité suffisante, cette faible épaisseur a surtout pour avantage de réduire le passage entre les deux éléments d'une ruche, ce qui est très appréciable dans la conduite d'une divisible. Une telle disposition permet également au constructeur amateur de fabriquer facilement tous les cadres dont il a besoin. Lorsqu'il s'agit de grandes séries, rien n'est plus appréciable que la simplification.

Entre autres avantages, le cadre de divisible Voirnot se retire facilement lors d'éventuelles visites et lors de la récolte, les risques d'écraser des abeilles sont beaucoup moins à craindre qu'avec un cadre haut. La désoperculation est aussi plus aisée.

Le rapport entre le côté et la hauteur d'une ruche montée sur deux corps est tel qu'un porteur dont les épaules sont placées au-dessus du toit peut saisir et soulever l'ensemble sans difficulté par le plancher.

Les proportions entre la base et la hauteur assurent un bonne stabilité à la ruche. Un empilage de trois éléments a peu de chance d'être renversé, même par forte tempête.

Le volume intérieur d'un élément Voirnot convient parfaitement pour le démarrage d'un essaim naturel ou artificiel. Il est donc inutile de s'encombrer de ruchettes.


© Alain Charlier
= = = = =
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Daniel d'en haut!
5 warrés 3 voirnots, en Ardèche et en Haute-Loire... pourtant, que la montagne est belle...

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Re: Comparatif de ruches

Message#35 » mar. juin 23, 2020 1:28 pm

C'est marrant que je lise le témoignage sur la Voirnot, je fais le même constat avec la Warré :-)

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Re: Comparatif de ruches

Message#36 » mar. juin 23, 2020 1:41 pm

Le site d'Alain Charlier a fermé, on peut le retrouver sur les archives d'internet, la suite, on continue
et les plans sur pinterest (en cherchant un peu bien sur)

Image


Ruche divisible Voirnot : la base à plateau coulissant

Image


La base, de hauteur 12 cm, comporte deux paires de glissières destinées à recevoir différents types de plateaux coulissants. Les glissières du haut sont en légère pente descendante vers l'avant. Elles servent de support à un plateau plein ou grillagé.

Le plateau-grille mériterait le nom de plateau sanitaire car il laisse passer les déchets de la ruche tout en permettant une bonne aération, été comme hiver.
À l'avant de ce plateau sont fixées deux cales d'épaisseur 7 mm.

En été, le plateau est simplement posé sur ses glissières, l'entrée se trouve ouverte sur toute la largeur et sur une hauteur d'au moins 1 cm.

À l'approche de l'hiver, l'avant du plateau est relevé de façon à amener ses réducteurs d'entrée en contact avec le bas de la ruche. Le plateau est maintenu dans cette position par deux coins placés sous la face inférieure. De cette manière, l'entrée est réduite en largeur (26 cm) et en hauteur (7 mm), ce qui évite l'intrusion de rongeurs et apporte la sérénité nécessaire à la colonie en repos hivernal.
En lieu et place de ce plateau peut prendre place, au printemps, une trappe à pollen coulissante. (Voir annexe n°3)
Les glissières horizontales du bas servent à placer le collecteur de pollen. En l'absence de trappe, elles peuvent servir de support à un plateau de contrôle des chutes de varroas.


Janvier 2012 : À l'heure de ma retraite professionnelle, plusieurs changements importants interviennent dans ma vie personnelle, me conduisant à cesser mon activité apicole. Je laisse ces pages en ligne, à titre d'archives, en espérant qu'elles rendront encore service à de nombreux apiculteurs amateurs, mais je ne souhaite plus intervenir dans les échanges. AC


il y a plus de détails dans son livre Image


Ensuite si ça te tente il y a le très long sujet sur la construction de la Voirnot divisible selon Daniel59

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Re: Comparatif de ruches

Message#37 » sam. janv. 23, 2021 1:00 pm

Il y en a qui n'aiment pas les rhododendrons, moi c'est les "apiscopes", et ce que j'ai vu hier ne m'a pas fait changer d'avis.
Une amie enseignante me demande d'aller jeter un œil sur une de ces pseudo-ruches installée dans sa classe, car elle s'inquiète, à juste titre à mon avis, de l'obstruction par des cadavres d'abeilles du tuyau transparent qui conduit au trou de vol et du possible risque de famine de cette colonie enruchée tard en saison. Des Buck évidemment, priées de bien vouloir vivre dans un vaste placard vitré sur une feuille unique de cire gaufrée d'un bon mètre carré.

Le fond est grillagé, mais aucune possibilité d'ouvrir la ruche sans la démonter.
Un nourrisseur unique pour sirop par dessus, et débrouillez-vous avec ça.
Le fond est jonché de cadavres, difficiles à évacuer car le trou de sortie de la ruche est en surplomb d'au moins quinze centimètres du bas et du tube en plexiglas lui-même encombré d'abeilles mortes, tube qui traverse le mur du bâtiment avec un diamètre un peu faible à mon avis.
Alors certes on voit la reine pondre et les abeilles s'affairer, mais à quel prix ?
Il paraît que ce genre de placard, que je ne me hasarderais pas à appeler une ruche, se vend très bien en ce moment...

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Re: Comparatif de ruches

Message#38 » sam. janv. 23, 2021 4:15 pm

Il devrait y avoir des AMM pour les modèles de ruche.
Laissons bâtir les bâtisseuses.

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jln
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Re: Comparatif de ruches

Message#39 » sam. janv. 23, 2021 4:19 pm

Ils commenceraient par interdire la warré !

Foué
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Re: Comparatif de ruches

Message#40 » mar. janv. 26, 2021 10:34 am

Pille Muguet a écrit :Il devrait y avoir des AMM pour les modèles de ruche.



Merci à toi pour ton sens de l'humour... :mdr

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