J'en reviens.
Des allées et venues par l'entrée du piège effectivement, mais d'un flux qui me semble faible.
Le propriétaire me signale qu'il voit toujours des abeilles fréquenter le cœur de l'arbre.
On décide de mettre l'échelle côté ruisseau afin de s'offrir un nouveau point de vue. Cet arbre n'a rien de simple.
Et de là, on découvre le pot aux roses : deux autres entrées ! Par l'une d'elles on peut apercevoir le haut d'un rayon.
Il faut refaire une ratatouille de terre.
C'est là que mon assistant résident, élève de sixième au collège du coin, me suggère de le suivre au fond du pré où il s'est déjà enfoncé jusqu'aux chevilles dans une boue bien collante. Pile poil ce qu'il nous faut : ni trop dur ni trop mou. Et on retartine.
Puis on installe la ruche et cette fois, on dirait qu'elles sont obligées d'y circuler nombreuses.
Y'a du pied dans la chaussette comme dit un ami vosgien...
Désolé d'avoir manqué de perspicacité pour trouver ces accès multiples.
À très bientôt.